[Japan Expo 2018] Interview d'Iwasa Misaki
2018年10月25日, 00:00 neotsubasa Interview
Japan Expo 19e IMPACT a eu lieu du 5 au 8 juillet 2018 à Paris et cette année encore nous avons pu aller à la rencontre des artistes musicaux invités au festival. Aujourd'hui, nous vous proposons de lire notre interview de la demoiselle.
Isawa Misaki était une nouvelle fois en France au festival Japan Expo. L'occasion pour nous d'aller une nouvelle fois à la rencontre de l'artiste et de parler de ses récents projets, ainsi que ceux à venir.
Bonjour et bienvenue en France. Merci de nous recevoir.
C'est votre quatrième passage à Paris, dont trois fois à Japan Expo. Pensez-vous que le public commence à bien vous connaître et à connaître l'enka ?
Non, pas vraiment. Mais à chacune de mes venues, j'essaye de le faire connaître au plus de monde possible.
Votre dernier single « Sado no Ondeko » (佐渡の鬼太鼓) met en valeur d'autres arts japonais (notamment le taiko), est-ce naturel de mêler l'enka à ces types d'arts ?
Les paroles de la chanson parlant justement de taiko, il semblait naturel de le faire apparaître dans le clip du single. En fait, le terme « ondeko » fait référence à un type bien précis de taiko qui est utilisé dans la préfecture de Niigata et plus précisément sur l'île de Sado. C'est un Taiko très ancien.
Vous jouez de la guitare lors de vos concerts, vous en jouez depuis longtemps ? Où est-ce récent ?
Cela fait seulement deux ans que j'en joue mais je ne me considère pas encore comme une bonne guitariste. J'éprouve un peu de gêne à jouer face au public mais je m'entraîne pour m'améliorer.
Plusieurs de vos chansons font référence à une préfecture du Japon, quelle importance attachez-vous aux différentes régions du Japon ?
Le style de musique enka met généralement en avant les jolis paysages qu'offre le Japon, c'est donc naturel pour moi de faire ainsi référence à différentes préfectures.
Est-ce que l'enka parle aussi des pays étrangers ?
J'ai bien envie d'essayer mais je ne crois pas que cela existe encore. A l'exception peut-être d'Hawaii. [elle réfléchit quelques instants] Je chanterais bien pourquoi pas une chanson sur la France.
Est-ce que vous envisagez de composer ? Quelle part de vous-même voulez-vous mettre dans vos chansons ?
Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai pas composé mes chansons. C'est le producteur des AKB48, Akimoto Yasushi, qui s'en charge. J'aimerais évidemment bien m'y essayer mais les mélodies du style enka sont particulièrement compliquées. Mais si je devais le faire, j'exprimerais avant tout ma reconnaissance envers les fans. J'essayerais de dire ce que je n'arrive pas à dire juste avec des mots.
À Japan Expo, vous avez eu l'occasion de faire un live en duo avec Cecile Corbel, pouvez-vous nous en parler ?
Pour l'anecdote, j'ai fait seulement sa connaissance durant les répétitions du matin avant-hier et on a tout de suite sympathiser, c'est quelqu'un de très gentil. J'ai énormément apprécié notre prestation commune sur scène, c'est un moment inoubliable que je garderai en mémoire. Principalement parce que c'était ma première fois avec une artiste étrangère. J'espère que les gens qui nous ont écoutées ont trouvé ça rafraîchissant et qu'ils ont apprécié cette expérience.
Quels sont vos projets à venir ?
Je n'ai pas vraiment d'objectif en soit mais j'ai une vision globale de ce que je voudrais pouvoir faire. J'aimerais évidemment être reconnue pour ma musique en tant qu'Iwasa Misaki. Je souhaite avoir l'occasion de revenir ici à Japan Expo mais aussi faire découvrir le style enka à d'autres pays qui ne le connaissent pas encore.
Merci beaucoup.
Merci beaucoup !
Idols News Network remercie Japan Expo ainsi qu'Isawa Misaki (Twitter, Site) et leurs équipes pour nous avoir permis de réaliser cette interview le dimanche 8 juillet 2018.
2018年10月25日, 00:00 neotsubasa Interview
Japan Expo 19e IMPACT a eu lieu du 5 au 8 juillet 2018 à Paris et cette année encore nous avons pu aller à la rencontre des artistes musicaux invités au festival. Aujourd'hui, nous vous proposons de lire notre interview de la demoiselle.
Isawa Misaki était une nouvelle fois en France au festival Japan Expo. L'occasion pour nous d'aller une nouvelle fois à la rencontre de l'artiste et de parler de ses récents projets, ainsi que ceux à venir.
Bonjour et bienvenue en France. Merci de nous recevoir.
C'est votre quatrième passage à Paris, dont trois fois à Japan Expo. Pensez-vous que le public commence à bien vous connaître et à connaître l'enka ?
Non, pas vraiment. Mais à chacune de mes venues, j'essaye de le faire connaître au plus de monde possible.
Votre dernier single « Sado no Ondeko » (佐渡の鬼太鼓) met en valeur d'autres arts japonais (notamment le taiko), est-ce naturel de mêler l'enka à ces types d'arts ?
Les paroles de la chanson parlant justement de taiko, il semblait naturel de le faire apparaître dans le clip du single. En fait, le terme « ondeko » fait référence à un type bien précis de taiko qui est utilisé dans la préfecture de Niigata et plus précisément sur l'île de Sado. C'est un Taiko très ancien.
Vous jouez de la guitare lors de vos concerts, vous en jouez depuis longtemps ? Où est-ce récent ?
Cela fait seulement deux ans que j'en joue mais je ne me considère pas encore comme une bonne guitariste. J'éprouve un peu de gêne à jouer face au public mais je m'entraîne pour m'améliorer.
Plusieurs de vos chansons font référence à une préfecture du Japon, quelle importance attachez-vous aux différentes régions du Japon ?
Le style de musique enka met généralement en avant les jolis paysages qu'offre le Japon, c'est donc naturel pour moi de faire ainsi référence à différentes préfectures.
Est-ce que l'enka parle aussi des pays étrangers ?
J'ai bien envie d'essayer mais je ne crois pas que cela existe encore. A l'exception peut-être d'Hawaii. [elle réfléchit quelques instants] Je chanterais bien pourquoi pas une chanson sur la France.
Est-ce que vous envisagez de composer ? Quelle part de vous-même voulez-vous mettre dans vos chansons ?
Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai pas composé mes chansons. C'est le producteur des AKB48, Akimoto Yasushi, qui s'en charge. J'aimerais évidemment bien m'y essayer mais les mélodies du style enka sont particulièrement compliquées. Mais si je devais le faire, j'exprimerais avant tout ma reconnaissance envers les fans. J'essayerais de dire ce que je n'arrive pas à dire juste avec des mots.
À Japan Expo, vous avez eu l'occasion de faire un live en duo avec Cecile Corbel, pouvez-vous nous en parler ?
Pour l'anecdote, j'ai fait seulement sa connaissance durant les répétitions du matin avant-hier et on a tout de suite sympathiser, c'est quelqu'un de très gentil. J'ai énormément apprécié notre prestation commune sur scène, c'est un moment inoubliable que je garderai en mémoire. Principalement parce que c'était ma première fois avec une artiste étrangère. J'espère que les gens qui nous ont écoutées ont trouvé ça rafraîchissant et qu'ils ont apprécié cette expérience.
Quels sont vos projets à venir ?
Je n'ai pas vraiment d'objectif en soit mais j'ai une vision globale de ce que je voudrais pouvoir faire. J'aimerais évidemment être reconnue pour ma musique en tant qu'Iwasa Misaki. Je souhaite avoir l'occasion de revenir ici à Japan Expo mais aussi faire découvrir le style enka à d'autres pays qui ne le connaissent pas encore.
Merci beaucoup.
Merci beaucoup !
Idols News Network remercie Japan Expo ainsi qu'Isawa Misaki (Twitter, Site) et leurs équipes pour nous avoir permis de réaliser cette interview le dimanche 8 juillet 2018.
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