[Japan Expo 2018] Interview de Wi-Fi-5
18 de Agosto, 2018, 00:00 neotsubasa Interview
Japan Expo 19e IMPACT a eu lieu du 5 au 8 juillet 2018 à Paris et cette année encore nous avons pu aller à la rencontre des artistes musicaux invités au festival. Aujourd'hui, nous vous proposons de lire notre rencontre avec le groupe Wi-Fi-5.
Parmi la sélection des nombreux groupes d'idoles à Japan Expo cette année, il y avait notamment le sympathique groupe Wi-Fi-5.
Bonjour, pouvez-vous vous présenter à notre public ?
(Nagisa) Notre groupe a été formé à partir de membres sélectionnés durant le concours de Miss iD organisé par la société Kōdansha. Il a commencé en octobre dernier.
Pouvez-vous nous parler de la création du groupe ?
(Nagisa) Nous étions toutes finalistes du concours Miss iD de 2016 ou 2017 à l'origine. A partir de là, on a pu participer aux auditions pour former le groupe Wi-Fi-5.
Pourquoi le nom Wi-Fi-5 ?
(Claire) Le groupe se nomme Wi-Fi-5 parce que nous sommes issues de différents pays. Le Wifi, c'est aussi quelque chose d'universel qui permet de connecter les gens entre eux à travers le monde. Notre espoir avec le groupe est de pouvoir nous aussi connecter des gens de différents pays. C'est pourquoi on se nomme Wi-Fi-5. Mais normalement, nous sommes cinq (rires).
Vous êtes normalement cinq justement. Pourquoi Sae n'est pas à Japan Expo ? Était-ce elle cachée dans le costume de Chi ?
(Nagisa) (rires) Non, elle n'était pas cachée dans Chi. Elle n'a pas pu venir tout simplement.
Nous avons encore malheureusement peu de visibilité en France sur le concours Miss iD, pouvez-vous nous expliquer comment ça marche ?
(Raimu) En fait il n'y a pas de critères, cela change tous les ans mais uniquement les femmes peuvent participer. C'est un concours un peu drôle et mystérieux parce qu'on ne sait pas vraiment sur quels critères on est retenus ou choisis.
Notre média est spécialisé dans la musique japonaise et les idoles ; que représente pour vous ce métier particulier ?
(Nagisa) Le métier d'idole c'est donner de l'énergie et du plaisir aux autres, et quelqu'un qui fait ça est déjà une idole en soit. Et c'est ce que je faisais déjà avant.
(Simon) J'ai commencé ma carrière, enfant, en tant que mannequin de mode et je passais parfois à la télé. Mais devenir une idole, c'est donner du sourire et du plaisir. Pour moi c'est ça que représente ce métier.
(Raimu) J'ai toujours adoré les idoles, notamment celles de l'ère Showa (1926-1989) parce que c'était vraiment des idoles. Le public n'y avait pas accès. Aujourd'hui, elles sont plus proches du public. Je ne pense pas qu'il existe de catégories d'idoles désormais, ce qu'il faut pour être idole, ou en devenir une, c'est donner de l'espoir, de l'amour et de la force aux gens.
(Claire) Je pense que les idoles ont un travail vraiment particulier. Elles ont cette capacité à apporter de la joie aux gens et de les faire se rapprocher. Elles ne sont pas là pour les désunir ou les juger. Lors des événements on rencontre les gens, on leurq serrent la main, ça me rend heureuse et on reçoit également du soutien. Les fans viennent assister à un spectacle en oubliant ce qu'ils veulent oublier pour être heureux et positif. Je pense que c'est quelque chose de génial.
Claire et Simon vous êtes membres d’un groupe d’idoles japonais mais chacune d’origine étrangère. C’est assez rare, ça n’a pas été trop dur de s’intégrer ?
(Claire) Eh bien non, tout a été très amusant. Tout le monde est très ouvert, gentil et attentionné. Je ne me sens pas mise à l'écart ou quoi que ce soit même si je ne parle pas encore le japonais (rires) (ndlr : Claire nous répondait en anglais lors de cette interview). Mais c'est vraiment une bonne ambiance. C'est très intéressant pour moi, qui vient des États-Unis, de venir au Japon et de baigner dans cette culture totalement différente. J'apprécie énormément ces instants.
(Simon) Je suis d'origine chinoise et pour devenir une idole au Japon j'ai fait des recherches. Aujourd'hui en tant qu'idole, je me force à me dire que je représente la Chine. Que je dois créer ce lien entre la Chine et le Japon, mais également entre le Japon et le monde.
Comment avez-vous accueilli la nouvelle de votre venue à Japan Expo ? Quelles en sont vos impressions ?
(Nagisa) Japan Expo est vraiment un festival immense, en une seule journée on en profite pas assez. Hier j'ai fait un petit tour et j'ai acheté un costume de licorne.
(Raimu) Il y a beaucoup de gens très intéressés par la culture populaire japonaise, et ça me rend heureuse.
(Simon) Je trouve ce lieu d'échange de cultures incroyable parce qu'il n'y a pas que des français, il y a aussi beaucoup d'européens. J'ai vu également des cosplays de personnages de jeux vidéo chinois, ou d'Europe. La culture du cosplay est née au Japon, mais avec un festival comme Japan Expo on peut voir que c'est devenu un phénomène mondial. C'est très intéressant.
(Claire) J'apprécie vraiment le festival et tous les festivals de ce genre. Il y a un très bon esprit à chaque fois. Tout le monde vient se balader, il y a beaucoup de cosplays, les gens sont heureux. C'est vraiment très amusant.
Pouvez-vous nous parler de vos projets à venir ?
(Nagisa) Jusqu'à présent on a fait pas mal de chansons de génériques d'animés. On va continuer dans ce registre mais on souhaite également s'essayer à d'autres registres. On souhaite être écouté par le plus de gens.
Merci beaucoup.
(Toutes) Merci beaucoup !
Idols News Network remercie Japan Expo et le groupe Wi-Fi-5 (Twitter, Site) ainsi que leurs équipes pour nous avoir permis de réaliser cette interview le dimanche 8 juillet 2018.
18 de Agosto, 2018, 00:00 neotsubasa Interview
Japan Expo 19e IMPACT a eu lieu du 5 au 8 juillet 2018 à Paris et cette année encore nous avons pu aller à la rencontre des artistes musicaux invités au festival. Aujourd'hui, nous vous proposons de lire notre rencontre avec le groupe Wi-Fi-5.
Parmi la sélection des nombreux groupes d'idoles à Japan Expo cette année, il y avait notamment le sympathique groupe Wi-Fi-5.
Bonjour, pouvez-vous vous présenter à notre public ?
(Nagisa) Notre groupe a été formé à partir de membres sélectionnés durant le concours de Miss iD organisé par la société Kōdansha. Il a commencé en octobre dernier.
Pouvez-vous nous parler de la création du groupe ?
(Nagisa) Nous étions toutes finalistes du concours Miss iD de 2016 ou 2017 à l'origine. A partir de là, on a pu participer aux auditions pour former le groupe Wi-Fi-5.
Pourquoi le nom Wi-Fi-5 ?
(Claire) Le groupe se nomme Wi-Fi-5 parce que nous sommes issues de différents pays. Le Wifi, c'est aussi quelque chose d'universel qui permet de connecter les gens entre eux à travers le monde. Notre espoir avec le groupe est de pouvoir nous aussi connecter des gens de différents pays. C'est pourquoi on se nomme Wi-Fi-5. Mais normalement, nous sommes cinq (rires).
Vous êtes normalement cinq justement. Pourquoi Sae n'est pas à Japan Expo ? Était-ce elle cachée dans le costume de Chi ?
(Nagisa) (rires) Non, elle n'était pas cachée dans Chi. Elle n'a pas pu venir tout simplement.
Nous avons encore malheureusement peu de visibilité en France sur le concours Miss iD, pouvez-vous nous expliquer comment ça marche ?
(Raimu) En fait il n'y a pas de critères, cela change tous les ans mais uniquement les femmes peuvent participer. C'est un concours un peu drôle et mystérieux parce qu'on ne sait pas vraiment sur quels critères on est retenus ou choisis.
Notre média est spécialisé dans la musique japonaise et les idoles ; que représente pour vous ce métier particulier ?
(Nagisa) Le métier d'idole c'est donner de l'énergie et du plaisir aux autres, et quelqu'un qui fait ça est déjà une idole en soit. Et c'est ce que je faisais déjà avant.
(Simon) J'ai commencé ma carrière, enfant, en tant que mannequin de mode et je passais parfois à la télé. Mais devenir une idole, c'est donner du sourire et du plaisir. Pour moi c'est ça que représente ce métier.
(Raimu) J'ai toujours adoré les idoles, notamment celles de l'ère Showa (1926-1989) parce que c'était vraiment des idoles. Le public n'y avait pas accès. Aujourd'hui, elles sont plus proches du public. Je ne pense pas qu'il existe de catégories d'idoles désormais, ce qu'il faut pour être idole, ou en devenir une, c'est donner de l'espoir, de l'amour et de la force aux gens.
(Claire) Je pense que les idoles ont un travail vraiment particulier. Elles ont cette capacité à apporter de la joie aux gens et de les faire se rapprocher. Elles ne sont pas là pour les désunir ou les juger. Lors des événements on rencontre les gens, on leurq serrent la main, ça me rend heureuse et on reçoit également du soutien. Les fans viennent assister à un spectacle en oubliant ce qu'ils veulent oublier pour être heureux et positif. Je pense que c'est quelque chose de génial.
Claire et Simon vous êtes membres d’un groupe d’idoles japonais mais chacune d’origine étrangère. C’est assez rare, ça n’a pas été trop dur de s’intégrer ?
(Claire) Eh bien non, tout a été très amusant. Tout le monde est très ouvert, gentil et attentionné. Je ne me sens pas mise à l'écart ou quoi que ce soit même si je ne parle pas encore le japonais (rires) (ndlr : Claire nous répondait en anglais lors de cette interview). Mais c'est vraiment une bonne ambiance. C'est très intéressant pour moi, qui vient des États-Unis, de venir au Japon et de baigner dans cette culture totalement différente. J'apprécie énormément ces instants.
(Simon) Je suis d'origine chinoise et pour devenir une idole au Japon j'ai fait des recherches. Aujourd'hui en tant qu'idole, je me force à me dire que je représente la Chine. Que je dois créer ce lien entre la Chine et le Japon, mais également entre le Japon et le monde.
Comment avez-vous accueilli la nouvelle de votre venue à Japan Expo ? Quelles en sont vos impressions ?
(Nagisa) Japan Expo est vraiment un festival immense, en une seule journée on en profite pas assez. Hier j'ai fait un petit tour et j'ai acheté un costume de licorne.
(Raimu) Il y a beaucoup de gens très intéressés par la culture populaire japonaise, et ça me rend heureuse.
(Simon) Je trouve ce lieu d'échange de cultures incroyable parce qu'il n'y a pas que des français, il y a aussi beaucoup d'européens. J'ai vu également des cosplays de personnages de jeux vidéo chinois, ou d'Europe. La culture du cosplay est née au Japon, mais avec un festival comme Japan Expo on peut voir que c'est devenu un phénomène mondial. C'est très intéressant.
(Claire) J'apprécie vraiment le festival et tous les festivals de ce genre. Il y a un très bon esprit à chaque fois. Tout le monde vient se balader, il y a beaucoup de cosplays, les gens sont heureux. C'est vraiment très amusant.
Pouvez-vous nous parler de vos projets à venir ?
(Nagisa) Jusqu'à présent on a fait pas mal de chansons de génériques d'animés. On va continuer dans ce registre mais on souhaite également s'essayer à d'autres registres. On souhaite être écouté par le plus de gens.
Merci beaucoup.
(Toutes) Merci beaucoup !
Idols News Network remercie Japan Expo et le groupe Wi-Fi-5 (Twitter, Site) ainsi que leurs équipes pour nous avoir permis de réaliser cette interview le dimanche 8 juillet 2018.
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